"Le sot fatigue plus qu'une montagne à escalader"
Après Etosha, direction le sud. Twyfelfontein, "la source douteuse". Paysages qui rappellent le Colorado (que nous ne connaissons pas), des montagnes façon crumble à l'abricot, des déserts, une absence de faune notable après Etosha, et plus un kopeck en poche, cartes non acceptées, distributeurs et supérettes à 150 km... Heureusement, un guide d'un groupe français nous a avancé de quoi tenir quelques jours et nous a offert une bière, sans relever nos empreintes digitales pour s'assurer de notre honnêteté. Étonnante Afrique.
Le thermomètre commence à monter... 41°C le matin.
Nuit dans les rochers.
Peintures rupestres le lendemain, avec notre guide qui nous montrera l'endroit où les San (bushmen) faisaient leur barbecue il y a 6000 ans, restes d'os de poulet à l'appui... Il nous a pris pour de jeunes gnous... d'où le proverbe du jour.
Arrivée au Sptizkoppe, montagne au milieu du désert
Et la veille de l'ascension, au campement
A 50 mètres du sommet, avec nos compagnons allemands, après 7h d'errements dans les rochers à chercher notre chemin ("very easy to find, 1-2h to climb, no worries" dixit les guides, pff).
Alors, pas mal?
