D’Omarama à Oamaru, m’a tuer

Sur notre route vers le sud (le froid), nous avons passé des lieux étranges, démonstration.

Omarama, toujours avec les courbatures du Mont Cook, nous a étonné avec ces curieuses falaises/ concrétions d’argile (toujours instable, c’est une constante dans ce pays sismique).

Puis à notre arrivée sur la côte, le musée Steam Punk d’Oamaru. Un lieu insolite, tenu par un homme insolite et complètement bourrin, qui doit aimer triturer la ferraille et user du fer à souder sur ses breloques mécaniques.

A Moeraki, dans un autre registre, les « Moeraki boulders », ces concrétions de lave selon les scientifiques. Des pommes de terres tombées du grand canoë renversé (devenue l’île du Sud), selon les Maoris.

A proximité, les pingouins à œil jaune de Moeraki – une espèce en voie de disparition, petit à petit remplacée par des touristes comme nous, qui les font fuir et les mitraillent à grands éclairs de flash.

Des otaries très familières, qui – Emilien en fera l’expérience – n’aiment pas avoir leur vue sur la mer obstruée par les fameux touristes dont on parle plus haut.

Nous continuons la route direction la péninsule d’Otago.